Invité sur la chaîne catholique KTO ce vendredi 9 mai, le cardinal Fridolin AMBONGO, archevêque de KINSHASA, est revenu avec émotion sur le récent conclave ayant conduit à l’élection du nouveau souverain pontife, le pape Léon XIV, successeur du pape François décédé il y a quelques jours.
Pour le cardinal congolais, cette élection a été avant tout un acte de foi.
«Le Seigneur avait déjà choisi son candidat, le nouveau pape Léon XIV», a-t-il déclaré, expliquant que les cardinaux réunis au Vatican n’avaient eu qu’à « rejoindre ce que le Seigneur leur indiquait comme chemin».
Participant au conclave avec 132 autres cardinaux venus du monde entier, le cardinal Ambongo a reconnu avoir abordé cette étape cruciale sans certitudes. « Je ne peux pas dire que je suis entré en conclave avec les idées très claires », a-t-il confié. Pourtant, malgré cette incertitude initiale, le consensus s’est rapidement imposé.
Cardinal Ambongo après le conclave : « Le Seigneur avait déjà choisi le pape Léon XIV »
Invité sur la chaîne catholique KTO ce vendredi 9 mai, le cardinal Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa, est revenu avec émotion sur le récent conclave ayant conduit à l’élection du nouveau souverain pontife, le pape Léon XIV, successeur du pape François décédé il y a quelques jours.
Pour le cardinal congolais, cette élection a été avant tout un acte de foi.
« Le Seigneur avait déjà choisi son candidat, le nouveau pape Léon XIV », a-t-il déclaré, expliquant que les cardinaux réunis au Vatican n’avaient eu qu’à « rejoindre ce que le Seigneur leur indiquait comme chemin ».
Participant au conclave avec 132 autres cardinaux venus du monde entier, le cardinal Ambongo a reconnu avoir abordé cette étape cruciale sans certitudes.
« Je ne peux pas dire que je suis entré en conclave avec les idées très claires», a-t-il confié. Pourtant, malgré cette incertitude initiale, le consensus s’est rapidement imposé.
« J’étais même surpris de constater que, malgré ces confusions au départ, on n’a pas mis longtemps pour tomber tous sur un nom.»
Le cardinal a souligné la diversité des participants, souvent étrangers les uns aux autres, mais unis par leur foi et leur sens du discernement. « Les choses n’ont pas traîné », a-t-il affirmé, saluant la bonne foi de ses pairs et l’atmosphère de prière et d’écoute qui a caractérisé le conclave.
L’élection du pape Léon XIV marque une nouvelle étape dans l’histoire de l’Église catholique, après plus de dix ans de pontificat du pape François. Pour le cardinal Ambongo, il ne fait aucun doute que cette transition s’est faite sous le regard de Dieu.
Le cardinal a souligné la diversité des participants, souvent étrangers les uns aux autres, mais unis par leur foi et leur sens du discernement.
«Les choses n’ont pas traîné», a-t-il affirmé, saluant la bonne foi de ses pairs et l’atmosphère de prière et d’écoute qui a caractérisé le conclave.
L’élection du pape Léon XIV marque une nouvelle étape dans l’histoire de l’Église catholique, après plus de dix ans de pontificat du pape François. Pour le cardinal AMBONGO, il ne fait aucun doute que cette transition s’est faite sous le regard de Dieu.