Après l’annonce faite par les autorités congolaises, c’est désormais au tour de l’administration du club de football AS MONACO de confirmer officiellement la signature d’un partenariat stratégique avec la République Démocratique du Congo (RDC).
Cet accord, qualifié de "multisectoriel", marque une nouvelle étape dans la diplomatie sportive et le développement des relations entre les deux entités. Si le football constitue le cœur visible de cette collaboration, les ambitions affichées vont bien au-delà du domaine sportif.
«Ce partenariat avec la RDC s’inscrit dans une vision à long terme, alliant sport, éducation, formation et impact social. Nous croyons au potentiel de la jeunesse congolaise et souhaitons bâtir ensemble des projets durables», a déclaré un responsable de l’AS MONACO dans le communiqué officiel du club.
Une coopération à plusieurs volets
Selon les premières informations, ce partenariat comprend notamment :
La formation des jeunes footballeurs congolais à travers des programmes techniques communs et des échanges académiques avec le centre de formation de l’AS Monaco.
Le développement d’infrastructures sportives modernes en RDC pour favoriser l’éclosion de talents locaux.
Des initiatives dans l’éducation, la culture et la diplomatie économique, avec l’objectif d’accroître l’attractivité de la RDC à l’international.
Le rayonnement du football congolais sur la scène européenne à travers des passerelles professionnelles et des opportunités pour les jeunes joueurs.
Une avancée dans la diplomatie sportive congolaise
Ce partenariat s’inscrit dans le sillage des efforts menés par le gouvernement congolais pour faire du sport un levier de développement et de coopération internationale. Il intervient également à un moment où la RDC multiplie les initiatives de rayonnement à l'échelle mondiale, notamment dans le cadre de sa participation à des événements internationaux comme l'Exposition universelle d’Osaka 2025.
Avec ce partenariat, la RDC et l’AS Monaco veulent conjuguer passion du sport et vision de développement partagé. Une dynamique qui pourrait inspirer d’autres collaborations entre États africains et institutions sportives européennes.
JNC